Le début du mois de juillet a donné lieu au deuxième camp d'entraînement de l'année. Cette fois, le camp a eu lieu en Estrie. Les entraînements étaient tous partagés entre La Patrie, Val-Racine et Lac Mégantic.
Cette fois, on laisse de côté le vélo pour se concentrer sur le ski à roulettes. Le camp était organisé différemment de celui de Charlevoix. Le plan était de faire beaucoup de ski à roulettes sans négliger le tir et varier avec de la course à pied. Toutefois, une blessure au tendon d'achille me rendait impossible la course à pied. J'ai dû la remplacer par du vélo de montagne. Mais j'ai pu faire tous les entraînements de ski à roulettes, heureusement.
Autre différence aussi avec le premier camp était que cette semaine, il y avait plusieurs intensités de prévues. Ça a débuté avec l'ascension du Mont Mégantic. Même si ce n'était pas une course, celui-ci n'est pas à prendre à la légère. Au bout d'une trentaine de minutes, même si je n'avais pas poussé comme en course, j'étais bien fatigué.
Ensuite, grâce à Claude Grégoire et à l'organisation du championnat canadien de cyclisme sur route on a pu participer à un critérium à skis à roulettes. 20 minutes de course + 1 tour final (de 1,1 km) après 20 minutes. C'était la première fois que je faisais une intensité aussi longue cette année. J'étais content de ma course même si j'ai eu des douleurs dans le dos. Je commence à bien assimiler la nouvelle technique sur laquelle je travailles depuis le début de l'année, mais il me reste encore du progrès à faire! Ça remet les idées en place, et fait travailler fort les muscles mais ça donne le goût de courser à nouveau!
C'est ce qu'on a fait la dernière journée. Un triathlon modifié. 12 km de ski à roulettes, de la course (remplacé par du vélo dans mon cas) et du tir. Encore une fois ça a bien été sur les skis. Même comparé à la course plus tôt dans la semaine j'ai vu une petite amélioration. Au tir par contre ça a été désastreux. Il faut que j'apprenne à me contrôler lorsque je tire avec les pulsations aussi hautes et lorsque le vent souffle fort et tourbillonne comme à La Patrie.
Je suis donc satisfait de mon entraînement à date. Je soigne ma blessure et continue l'entraînement assidument. Je termine justement une semaine de 24h40 (28h40 en comptant le tir), la deuxième plus longue de l'année et de ma carrière.
Merci et à bientôt
Guillaume Bertrand
Cette fois, on laisse de côté le vélo pour se concentrer sur le ski à roulettes. Le camp était organisé différemment de celui de Charlevoix. Le plan était de faire beaucoup de ski à roulettes sans négliger le tir et varier avec de la course à pied. Toutefois, une blessure au tendon d'achille me rendait impossible la course à pied. J'ai dû la remplacer par du vélo de montagne. Mais j'ai pu faire tous les entraînements de ski à roulettes, heureusement.
Autre différence aussi avec le premier camp était que cette semaine, il y avait plusieurs intensités de prévues. Ça a débuté avec l'ascension du Mont Mégantic. Même si ce n'était pas une course, celui-ci n'est pas à prendre à la légère. Au bout d'une trentaine de minutes, même si je n'avais pas poussé comme en course, j'étais bien fatigué.
Ensuite, grâce à Claude Grégoire et à l'organisation du championnat canadien de cyclisme sur route on a pu participer à un critérium à skis à roulettes. 20 minutes de course + 1 tour final (de 1,1 km) après 20 minutes. C'était la première fois que je faisais une intensité aussi longue cette année. J'étais content de ma course même si j'ai eu des douleurs dans le dos. Je commence à bien assimiler la nouvelle technique sur laquelle je travailles depuis le début de l'année, mais il me reste encore du progrès à faire! Ça remet les idées en place, et fait travailler fort les muscles mais ça donne le goût de courser à nouveau!
C'est ce qu'on a fait la dernière journée. Un triathlon modifié. 12 km de ski à roulettes, de la course (remplacé par du vélo dans mon cas) et du tir. Encore une fois ça a bien été sur les skis. Même comparé à la course plus tôt dans la semaine j'ai vu une petite amélioration. Au tir par contre ça a été désastreux. Il faut que j'apprenne à me contrôler lorsque je tire avec les pulsations aussi hautes et lorsque le vent souffle fort et tourbillonne comme à La Patrie.
Je suis donc satisfait de mon entraînement à date. Je soigne ma blessure et continue l'entraînement assidument. Je termine justement une semaine de 24h40 (28h40 en comptant le tir), la deuxième plus longue de l'année et de ma carrière.
Merci et à bientôt
Guillaume Bertrand